La réconciliation, c’est ce que prône le Cadre unitaire de l’islam au Sénégal (CUDIS) dans un communiqué publié ce lundi 4 novembre, et qui fait suite à la campagne électorale pour les législatives anticipées du 17 novembre prochain. Laquelle est marquée par des scènes de violence depuis son démarrage.
« Le CUDIS propose le ‘Juboo’ (réconciliation) en plus du ‘Jub, jubal, jubanti’ et condamne toutes les violences. Il constate avec un grand regret la violence verbale et physique qui a marqué le début de la campagne des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024. Fidèle à sa vocation de préservation de la paix et du vivre ensemble, le CUDIS condamne cette violence presque consubstantielle au jeu politique sénégalais », lit-on dans le document parvenu à Seneweb.
Abdou Aziz Mbacké Majalis et ses camarades de rappeler aux acteurs politiques, aux militants et aux sympathisants leur devoir historique, après trois années de troubles politico-judiciaires, de faire preuve du sens élevé de la responsabilité dans le jeu démocratique, de bannir complètement les discours de haine et de rompre avec les violences notées depuis l’ouverture de la campagne électorale. «Cette rupture est indispensable pour la préservation des fondements de la paix et du vivre-ensemble au Sénégal », plaident ils.









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