Mouhamadou Ngom dit Farba avec en toile de fond la tenue, hier, de la
commission ad hoc à cette fin, intéresse particulièrement les quotidiens de
ce mercredi 22 janvier 2025.
« Farba Ngom vers le pool judiciaire financier », titre par exemple le
Quotidien à sa une.
Il poursuit en annonçant que « la commission ad hoc va proposer sous peu à
la plénière la levée de l’immunité parlementaire du député ».
Sud quotidien s’est aussi intéressé à ce sujet en titrant : « Farba Ngom
livré à la plénière ».
Il évoque par ailleurs le cas d’Aïssata Tall qui, dit-il, « n’a pas
apprécié le fait qu’on ne lui ait pas donné l’occasion d’accéder au
document incriminant le député ».
Représentant son collègue devant la commission ad hoc, « Aissata Tall Sall
a quitté celle-ci hier et a dénoncé la démarche de la structure »,
renseigne le journal
Walfquotidien s’est également attardé sur le « boycott » d’Aissata Tall
Sall qui préfère parler d’une « parodie de commission ad hoc » dans le même
journal
L’Obs est aussi revenu sur l’absence des représentants du députés à la
commission ad hoc, notant que « la défense de Farba Ngom claque la porte de
la commission ad hoc ».
Il cite Aissata Tall Sall et Djimo Souaré qui dénoncent une
« instrumentalisation politique ».
« Une volatilité qui déroute les ménages »
L’AS quotidien a ouvert ses colonnes au président du groupe parlementaire
de PASTEF, Ayib Daffé selon qui « Takku Wallu entretient une confusion
entre les attributions d’une commission ad hoc pour la levée de l’immunité
parlementaire d’un député et celles d’enquête parlementaire ».
« Au stade actuel, la procédure a été strictement respectée », clame Ayib
Daffé dans le même journal.
Le Soleil s’est éloigné de la politique pour évoquer des sujets
essentiellement économiques et sociaux.
Il a consacré un large dossier sur ce qu’il appelle « la hausse répétitive
des prix des denrées de première nécessité »
« Une volatilité qui déroute les ménages », barre-t-il à sa Une en faisant
allusion à cette hausse des prix.
Selon le journal, « ces cinq dernières années , malgré des renonciations
fiscales et des subventions avoisinant 800 milliards de FCFA, les
consommateurs sont confrontés à une augmentation récurrente des prix ».
Le directeur du Commerce intérieur Cheikh Ahmadou Bamba Ndaw s’est exprimé
dans le journal en informant que « les cas de hausse relevés sont liés à un
déficit de l’offre ».
Avec APS










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