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Reconstruire Coumba City…

Si RECONSTRUIRE est un verbe à Rufisque, voici « 3 P » pour CHANGER LES CHOSES : Présence auprès des populations, Prestance pour apporter des solutions et Programme pour faire évoluer LA CITÉ…

Pour cela, RIEN NE DOIT FAIRE RECULER la population… au premier rang : LA JEUNESSE !

Pour cela encore, NOUS ALLONS DEVOIR CHANGER LA CITÉ dans ses profondeurs.

Nous allons devoir changer le visage des quartiers.

Nous allons devoir, dans une approche collaborative et citoyenne, mettre au centre de notre action :
1- les familles (avec UN HAUT CONSEIL DES FAMILLES pour gérer les questions de santé et d’éducation),
2- les « penc » (avec UNE HAUTE AUTORITÉ COUTUMIÈRE ET RELIGIEUSE pour gérer les questions de dialogue inter-urbain, de culture et religion),
3- les associations (avec UNE HAUTE AUTORITÉ ASSOCIATIVE pour gérer les questions de jeunesse, de femme et d’emploi),
4- les quartiers (avec UN HAUT CONSEIL DES QUARTIERS pour gérer les questions d’environnement, d’éclairage public, de sécurité et de transport inter-urbain),
5- la diaspora (avec UN FORUM URBAIN INTERNATIONAL pour un meilleur positionnement de la cité sur la scene mondiale),
6- les acteurs et partenaires économiques (avec UN HAUT CONSEIL DE LA MODERNISATION, DE L’INVESTISSEMENT ET DES INITIATIVES ECONOMIQUES),
7- les sportifs et acteurs culturels (avec UN CONSEIL DES SPORTS ET DE LA CULTURE pour faire de la cité UN LEADER SPORTIF ET CULTUREL autour de l’organisation de grands événements).

Autrefois, c’était un sourire. Un regard. Un verbe. Un NAKHATÉ pour mobiliser les populations.

Puis, c’est devenu un métier, une histoire à épisodes multiples. Saison 1, on gagne; saison 2, on perd. Et on recommence.

N’ont plus de sens les meetings, les mobilisations NDIAGA NDIAYE, les candidats sans programme, l’argent-miel…

Aujourd’hui, les codes ont changé.
LE MOT c’est de CHANGER LES CHOSES DANS LA VÉRITÉ ET LA TRANSPARENCE.

DANS CE CADRE, nous proposons UN NOUVEAU PROGRAMME D’EMPLOI POUR LES JEUNES, UN PROGRAMME DE SOLIDARITÉ EN FAVEUR DES PERSONNES ÂGÉES, UN PROGRAMME DE CRÉATION DE RICHESSES POUR AUGMENTER LE BUDGET MUNICIPAL QUI, PINCE-SANS-RIRE, N’AUGMENTE JAMAIS.

Ce message est loin d’être DÉSERT DE L’ÂME mais DESSERT SUR LE PLAT DES INNOVATIONS MANAGÉRIALES parce que comportant DES AIRS DE LAME qui renvoient à une rupture fondamentale d’avec ce qui est en cours dans la gouvernance locale à Rufisque.

Oui, tout ou presque doit être renouvelé et rendu neuf à Rufisque.

Ce n’est pas une promesse de campagne ni une opération de charme pour mobiliser les masses populaires qui m’invitent à revenir dans le débat public rufisco-rufisquois.

Ce n’est pas non plus un voeu pieux pour le renouvellement d’un projet urbain et supra-urbain de (re)construction de Rufisque-ville et de Rufisque-département.

C’est plutôt une conviction, un engagement et une exigence qui, pour la MISE EN OEUVRE, se résument en deux mots : ORGANISATION ET MÉTHODE.
L’ORGANISATION c’est la création des NEUF.

Comprenez les NOUVEAUX ENTREPÔTS URBAINS ET FORMELS.

Les NEUF vont avoir 9 axes d’intervention qui, en même temps, sont des priorités sectorielles porteuses d’emplois et de richesses.
Ce sont :

  • les entrepôts du bois;
  • les entrepôts de la pêche;
  • les entrepôts de la viande;
  • les entrepôts de la mercerie;
  • les entrepôts des fers et verres;
  • les entrepôts des céréales locales;
  • les entrepôts des fruits et légumes;
  • les entrepôts des pièces détachées;
  • les entrepôts de l’informatique et du numérique.

Toute cette organisation aura pour objectif d’apporter de l’ordre dans la vie publique et marchande.

S’y ajoute le fait qu’elle se voudra un excellent outil de mobilisation de ressources additionnelles pour les collectivités municipales et territoriales.

Quant à LA MÉTHODE, elle va consister à faire travailler un grand nombre de jeunes et de femmes mais aussi à répondre aux besoins de solidarité des personnes âgées dont la responsabilité au sein des familles n’est pas que fondée sur l’exercice de l’autorité parentale.

La MÉTHODE sera aussi de réduire considérablement le budget de fonctionnement ainsi que les dépenses de prestige, comme les inconsequentes assises locales.

A ce PLAN DE RÉDUCTION DES CHARGES, viendra se joindre l’obligation de consacrer 22,5% du budget de 7 milliards. Soit 1 milliard 575 millions de francs CFA chaque année.

La conséquence, elle, sera de rendre gratuites les inscriptions scolaires et de niveau supérieur.

Elle sera d’allouer UNE PENSION MUNICIPALE aux personnes âgées suivant des critères d’obtention à définir.

Elle sera de moderniser les quartiers : éclairage public, installation généralisée d’égouts, pavage, mise en place d’espaces verts…

Pour l’emploi via L’ENTREPOSAGE, seront mis à profit tous les corps de métier portant sur les Tics; la pêche; la sécurité; la filière viande, duvets, peaux et cuirs; la boiserie; l’électromécanique; l’horticulture; la transformation des produits céréaliers; le textile; la filature; la métallurgie; l’artisanat; les BTP…

L’objectif est naturellement de créer 7 à 10 mille emplois directs et indirects ainsi qu’il sera possible de faire migrer le présent budget de 7 milliards vers une ligne plus prometteuse qui est de 14 milliards.
C’est cela notre vision et notre contribution.

En attendant, chaque rufisquois peut constater l’incroyable impuissance des uns qui n’ont que leur argent pour acheter les consciences et puis, cette extraordinaire compétence de saboter tout projet constructif qui les nourrit ou cette caractérielle folie de souiller l’image d’honnêtes gens qui les définit.

Et pourtant, à l’opposé, il y’a cette formidable capacité des autres, ces honnêtes gens dont je parle, à traduire Rufisque-ville comme Rufisque-département en un véritable réseau où, pour se connecter, il suffit d’avoir en tête et en choeur un mot de passe, un seul : #NEUF.

La vieille ville a trop vieilli.
Attention : l’heure est grave à Rufisque.

Il faut urgemment faire le pari du #NEUF pour ne pas être grandement distancé par les cités laborieuses et ambitieuses. Là-bas, l’idée se concrétise déjà sous la conduite d’honnêtes gens pour tout révolutionner.

Dans cette révolution, la jeunesse porte le nom de L’ÉVOLUTIONNAIRE…

Elle en est un mot et un motif.
Elle en est le village et la planète COUMBA LAMB.

L’ÉVOLUTION est un monde et une vie.
Juste une précision : mes positions ne sont ni « intérêtuelles » ni partisanes. Elles sont résolument, exclusivement et passionnément intellectuelles puisque productives et prospectives. Et puis, je ne suis pas de ceux qui avalent tout ce qu’on leur sert sur le plat de la consommation idéelle et factuelle.

Je pense toujours avant d’agir, avec recul et hauteur. Mesure et discernement, surtout. Cela fait que mes positions restent également une démarche épistémologique qui vise ceux qui ont choisi l’évolution, le partage des idées, le débat conséquent, l’expérimentation sans relâche, la conviction de l’être et du devenir.

Cela fait que mes positions visent, somme toute, ceux qui ont préféré le progrès au changement qui, d’ordinaire, devient un point statique une fois qu’un individu tente d’en faire sien. Elles visent, enfin, ceux-là que je nomme, sans prétention aucune, des évolutionnaires…

Quiconque se représente, avec untel dans sa réplique à un penseur libre qui se bat, loin des champs de prébendes et de glorioles, et combattant au nom de la responsabilité cognitive et professionnelle pour l’ancrage et l’affirmation des principes démocratiques, est hors contexte et hors sujet.

Même si je concède que rien n’est figé dans la dialectique où tout se résume en boucle communicative pour créer le feedback humaniste. Même si je concède que la défaite de la pensée et la victoire de la polémique sont si grandes qu’elles provoquent aujourd’hui des allégories, comme «l’arrêt brusque d’une ligne de chemin de fer qui s’achève sur un butoir de gare». Une réalité qui m’indigne, me choque, me révolte.

Mais de cette révolte, je m’emploie à renaître dans le feu de l’action et à faire renaître la flamme du concret, avec une passion et une compassion qui renvoie à l’histoire factuelle : RECONSTRUIRE RUFISQUE que j’appelle affectueusement COUMBA CITY.

ITMG.

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