Par Mame mactar Gueye Jamra
À L’OCCASION de l’ouverture, le 02 septembre dernier, du procès des attentats de Charlie-hebdo, relativement aux CARICATURES blasphématoires contre le Prophète Mouhammad (psl), à l’actif de ce journal satirique, le président français, Emmanuel Macron, en tant qu’incarnation de la continuité de l’État et de l’unité nationale, au lieu de s’inscrire dans une logique d’apaisement et de réconfort des familles endeuillées, a préféré, allègrement, JETER DE L’HUILE SUR LE FEU, en théorisant « LA LIBERTÉ DE BLASPHÉMER » !
NE S’ARRETANT PAS en si bon chemin, il s’illustra dans un autre « dérapage contrôlé », lors de l’hommage rendu à la Sorbonne, le 21 octobre, au professeur d’Histo-Géo, décapité par un Jihadiste à Conflans-Sainte-Honorine, en disant, qu’au nom de la LIBERTÉ D’EXPRESSION « Nous ne renoncerons pas aux caricatures ».
À PRÉSENT que le président Erdogan, son pertinent homologue turc, exerçant, lui aussi, sa LIBERTÉ D’EXPRESSION, lui rend la « politesse » en déclarant, avant-hier dans un discours télévisé : «Qu’un chef d’Etat qui traite de cette manière des millions de membres d’une communauté religieuse, doit d’abord aller subir des examens de santé mentale».
LE CHEF DE L’ÉLYSÉE se fâche, rappelle son ambassadeur pour, dit-il, « protester » et dénoncer des « propos inacceptables ».
QUE VEUT DONC « MACARONI », à la fin ?! Il peut s’arroger le droit de BLASPHÉMER, mais les autres ne doivent se contentent que de la « boucler »! Au nom de quoi ?! (JAMRA).