Les pensionnaires de Sanar sont encore en mouvement d’humeur. Ils ont fait face aux forces de l’ordre ce lundi 30 janvier. En sus, ils ont décrété 120 heures de journées sans tickets et 72 heures de cessation de toutes activités pédagogiques.
Motifs : l’orientation abusive de nouveaux bacheliers sans mesures d’accompagnements, le manque criard de logements, le déficit exaspérant d’infrastructures, les modiques capacités d’accueil des restaurants universitaires face au nombre pléthorique d’étudiants. Mais le principal motif de revendication de la CESL est le manque d’infrastructures capables de contenir les nouveaux bacheliers.











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